Le FLNKS dit non au compromis : ils préfèrent continuer à se disputer avec l'Etat
Le Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS), grand spécialiste du rejet, a décidé de botter en touche une fois de plus. Après avoir signé l'accord de Bougival, il a finalement décidé que c'était une mauvaise idée. Comme quoi, l'indécision est leur sport favori.
Manuel Valls, la porte ouverte à toutes les fenêtres
Manuel Valls, grand amateur de compromis et d'appels au dialogue, n'a visiblement pas compris le concept du "non, c'est non". Il propose donc de continuer à discuter, en espérant qu'un miracle se produise. Peut-être qu'ils pourraient régler ça autour d'un bon café ?
Un nouveau référendum sur l'indépendance : bientôt disponible en promo ?
Le FLNKS n'est pas content car l'accord ne prévoit pas un nouveau référendum sur l'indépendance. Peut-être qu'ils pensent qu'à force d'en faire, ils pourraient avoir une carte de fidélité et une neuvième tentative gratuite. Qui sait ? ## La rébellion des indépendantistes en Nouvelle-Calédonie
Ah, l'accord de Bougival, le grand moment de réconciliation entre les indépendantistes et les loyalistes en Nouvelle-Calédonie. Mais apparemment, tout cela n'était qu'un mirage car voilà que la syndicaliste Marie-Pierre Goyetche balance tout en l'air en rejetant en bloc le comité de rédaction. Les promesses, c'est comme les discours politiques, ça s'envole en fumée !
La bataille des courants politiques
Tandis que les non-indépendantistes défendent bec et ongles l'accord de Bougival, les indépendantistes se déchirent entre ceux qui veulent y adhérer et ceux qui préfèrent le fuir comme la peste. C'est un peu comme une mauvaise série politique où tout le monde se poignarde dans le dos en espérant arriver au sommet.
Les vérités qui fâchent
Manuel Valls, malgré ses airs de sauveur, risque bien de se retrouver au milieu d'un sacré micmac lors de son voyage en Nouvelle-Calédonie. Entre les critiques du FLNKS qui crient à la trahison et les loyalistes qui voient leur accord chéri partir en fumée, la visite s'annonce plus mouvementée qu'un épisode de Game of Thrones. Que les jeux politiques commencent !