Le symbole malgré lui de la politique d'expulsions massives de Donald Trump
Kilmar Abrego Garcia, le Salvadorien qui a eu la chance de vivre le grand rêve américain en étant expulsé par erreur des Etats-Unis avant d'être incarcéré, a enfin été libéré. Quelle histoire palpitante, n'est-ce pas ?
Une erreur administrative reconnue (ou pas)

L'administration Trump a reconnu une "erreur administrative" après avoir expulsé par mégarde ce pauvre immigrant marié à une Américaine. Après des mois de bataille judiciaire, Kilmar Abrego Garcia a enfin retrouvé la liberté. Mais ce n'est pas tout, car maintenant il est accusé d'aide au séjour illégal de migrants. On ne sait plus trop où donner de la tête, entre boulette et accusation, c'est la grande confusion.
Le plan B : direction l'Ouganda ?
Selon des médias américains, le ministère de la sécurité intérieure envisagerait de transférer Kilmar Abrego Garcia en Ouganda. Parce que oui, quand on se trompe une fois, autant persévérer dans l'erreur et envoyer les gens là où ils n'ont jamais mis les pieds. Au moins, le gouvernement américain ne manque pas d'imagination. ## Quand la justice s'en mêle
Ah, la justice américaine et ses rebondissements ! Une juge du Maryland a décidé d'interdire au gouvernement, y compris à la police de l’immigration, de remettre en détention Kilmar Abrego Garcia une fois libéré. C'est vrai que les couloirs de prison ne sont pas aussi charmants que les plages de Cuba, n'est-ce pas ?
Un emploi du temps chargé
Apparemment, le gouvernement envisage sérieusement d'envoyer notre ami Kilmar en Ouganda. Ah oui, comme si c'était la destination de vacances la plus prisée de l'été ! On peut dire que sa famille doit en être ravie. Heureusement, ils seront prévenus 72 heures à l'avance, histoire de préparer les valises.
Une affaire de gang
Ah, l'accusation selon laquelle M. Abrego Garcia serait membre du gang MS-13, classé "organisation terroriste" par Trump, fait frémir. Mais bon, "aucun antécédent judiciaire" et des preuves qui ne collent pas vraiment, ça vous en bouche un coin, non ? Tout ça pour une petite virée en Ouganda, c'est du sérieux !