La justice se penche sur les pratiques de la plateforme Kick, quelle surprise !
La procureure de Paris, Laure Beccuau, a décidé d'ouvrir une enquête sur les pratiques de la plateforme australienne Kick. En plus de l'enquête menée par le parquet de Nice pour élucider les circonstances du décès du streameur Jean Pormanove, on ajoute une petite couche d'intérêt sur ce que fait Kick.
Un soupçon de "fourniture en bande organisée de contenu illicite"
La procureure de Paris a ouvert cette enquête pour déterminer si Kick a sciemment diffusé des vidéos de violence. On se demande bien comment une plateforme aurait pu se permettre une telle négligence... oups.
Clara Chappaz prête à en découdre avec Kick
La ministre déléguée au numérique, Clara Chappaz, veut attaquer en justice la plateforme Kick pour "manquement". On espère qu'elle aura plus de succès que le service client de Kick pour obtenir une réponse. ## La justice à la rescousse !
La ministre déléguée chargée de la citoyenneté, Marlène Schiappa, ne rigole plus et décide de mettre en place des mesures pour lutter contre les contenus violents diffusés en ligne. Ah bon, il n'y avait rien avant pour protéger les gens des humiliations et des agressions gratuites ?
Une fin tragique pour Jean Pormanove
Raphaël Graven, alias Jean Pormanove, a connu une fin tragique près de Nice. Après plus de 12 jours de diffusion en direct sur la plateforme de vidéos Kick, il a finalement été victime de violences filmées. Pas très fun comme concept de divertissement, non ?
La chaîne de la honte
Suivi par près de 200 000 personnes, la chaîne "Jeanpormanove" montrait des scènes de violence gratuite à répétition. Insultes, coups, menaces, de quoi passer de bons moments en famille devant son écran. La télé-réalité n'a qu'à bien se tenir.