Donald Trump, l'éternel insatisfait du vote par correspondance
Ah, Donald Trump, toujours fidèle à lui-même ! Le voilà de retour avec une nouvelle idée brillante : se débarrasser du vote par correspondance. Parce que bon, pourquoi faciliter la vie des gens quand on peut compliquer les choses, n'est-ce pas ?
Des machines électorales "imprécises" et "onéreuses" ?
Le président américain a déclaré vouloir également se débarrasser des machines électorales, qualifiées par ses soins d'"imprécises", "onéreuses" et "fortement controversées". Apparemment, pour lui, aucun doute : le bon vieux papier à filigrane est la solution idéale. Vous avez dit ringard ?
Les démocrates sont prévenus : Trump is back !
Trump prévient les démocrates : attention, ils vont être déçus de ne pas pouvoir tricher autant qu'ils le souhaitent lors des élections. Apparemment, pour lui, ils sont les rois de la triche, à des niveaux jamais vus auparavant. On se demande où il va chercher tout ça... ## Donald Trump et le vote par correspondance : une histoire d'humour noir
Ah, Donald Trump et ses belles théories sur le vote par correspondance. Selon lui, les Etats-Unis seraient le seul pays au monde à utiliser ce système. On se demande s'il aime se sentir unique dans la bêtise.
Pourtant, de nombreux pays, surtout européens, pratiquent le vote par correspondance sans rencontrer les "FRAUDES ÉLECTORALES MASSIVES" évoquées par le président américain. Peut-être que Donald a besoin de lunettes pour voir la réalité.
En vrai chef autoritaire qu'il est, Trump a signé un décret pour limiter le vote par correspondance et surveiller de près les listes électorales. Il faut bien ça pour contrôler la démocratie, n'est-ce pas ?
Et bien sûr, notre cher Donald est convaincu que l'Etat fédéral devrait prendre les rênes des élections, au détriment des Etats individuels. Il se voit déjà en maître suprême, comme un dictateur bienveillant.
Des experts ont qualifié ce décret de coup de force présidentiel. C'est sûr que Donald Trump est connu pour sa subtilité et sa délicatesse en politique. On en rigole encore.