Quand la technologie s'invite à l'examen
Au Danemark, on sait faire dans l'originalité ! Dès 2026, les lycéens auront le privilège d'utiliser l'intelligence artificielle pendant l'épreuve orale d'anglais du baccalauréat. Et oui, nous ne sommes plus à l'époque des antisèches sur le bout de la chaussure !
Une révolution pédagogique en marche

L'objectif ? Encourager le développement numérique dans les apprentissages. C'est vrai que quoi de mieux pour maîtriser la langue de Shakespeare que de se faire aider par une IA ? Après tout, pourquoi pas un petit robot pour faire les maths à notre place tant qu'on y est ! Et puis on a beau dire, l'intelligence artificielle, ça a sûrement plus de culture générale que la plupart des élèves...C'est peut-être même un bon moyen de lutter contre la fraude !
Le stress de l'examen ? Connais pas !
Désormais, lors de la phase de préparation de l'épreuve orale, la technologie sera de mise. Une heure pour se préparer avec tous les outils à disposition, même l'IA générative ! On se demande s'ils vont aussi bientôt autoriser les consultations de voyance pour savoir quelles questions vont tomber...Bon, on rigole, mais peut-être que bientôt, les professeurs seront remplacés par des robots et là, on rigolera moins ! ## Le Danemark encourage l'utilisation d'Internet pendant les examens : vers un bac 2.0 !
Ah le Danemark et ses idées lumineuses ! Depuis 2008, les Danois ont décidé d'autoriser l'usage encadré d'Internet pendant les examens. Parce que bon, les antisèches papier, c'est tellement has been...
Une révolution pédagogique
Selon le ministre de l'éducation, Mattias Tesfaye, cette brillante initiative vise à encourager le développement numérique dans les apprentissages. Oui, il était temps que nos chers étudiants apprennent à surfer sur le web en classe, ça leur sera tellement utile pour trouver un job dans la vraie vie.
La filière générale aussi concernée !
Les lycées volontaires pourront participer à cette révolution en marche, mais attention, uniquement pour la filière générale. Parce que les filières pro, c'est bien connu, n'ont pas besoin d'Internet pour réussir. Ah, la discrimination numérique, ça a du bon !