Crise politique au Kosovo
La présidence reste à élire malgré la date butoir
Le Parlement du Kosovo a échoué à élire sa présidence pour la cinquante-quatrième fois, plongeant le pays dans une crise politique sans précédent depuis son indépendance en 2008. Les députés n'ont pas réussi à former un gouvernement, laissant le Kosovo dans une incertitude politique croissante.
Impasse parlementaire
Les tentatives infructueuses pour résoudre la crise
Malgré deux réunions en une journée pour trouver une solution, les députés du Kosovo n'ont pas réussi à élire leur président avant la date limite fixée par la Cour constitutionnelle. Le parti Vetëvendosje du premier ministre sortant n'a pas réussi à former une majorité absolue, ni à trouver un partenaire de coalition.
Incertitude politique
Le Kosovo face à une situation inédite
Avec l'échec de l'élection présidentielle et la difficulté à former un gouvernement, le Kosovo se retrouve plongé dans une crise politique sans précédent. L'absence de leadership politique risque de prolonger l'instabilité du pays et d'affecter sa gouvernance dans les mois à venir. ## Crise politique en Kosovo : impasse au Parlement
Le Parlement du Kosovo, issu des législatives récentes, se retrouve dans une impasse politique alors qu'il échoue continuellement à élire son président. Cette situation bloque la formation d'un gouvernement, car le président du Parlement doit être élu avant que celui-ci ne puisse voter pour approuver ou rejeter le gouvernement.
Le Kosovo plonge dans une crise sans précédent
Le pays, indépendant depuis 2008 et considéré comme le plus jeune d'Europe, se trouve confronté à la crise politique la plus sérieuse de son histoire. Les conséquences de cette impasse politique sont actuellement incertaines et pourraient avoir des répercussions significatives.
Suspension des activités parlementaires : une décision de la Cour constitutionnelle
La Cour constitutionnelle a décidé de suspendre le droit de vote et de légiférer des députés à partir de minuit samedi. Cette mesure, valable jusqu'au 8 août, vise à permettre à la Cour d'examiner les recours déposés par l'opposition. Celle-ci accuse le parti du Premier ministre Albin Kurti de prendre des décisions sans cadre légal approprié.