Affaire Brigitte Macron : la relaxe des accusées ne valide pas les rumeurs transphobes

Date de publication

Décision de la cour d'appel de Paris

La cour d'appel de Paris a récemment relaxé deux femmes ayant propagé une rumeur transphobe concernant Brigitte Macron. Cependant, il est important de souligner que cette décision ne valide en aucun cas les allégations autour de la première dame.

Clarification de la justice

Malgré la relaxe des prévenues, la justice rappelle que cela ne signifie en aucun cas une validation des rumeurs transphobes visant Brigitte Macron. Les allégations selon lesquelles elle aurait réalisé une transition de genre ne sont pas confirmées par cette décision de la cour d'appel.

Mise au point nécessaire

Les conclusions hâtives faites par certains soutiens des prévenues et reprises par des sites complotistes ne sont pas fondées. L'avocat spécialiste du droit de la presse, Christophe Bigot, souligne que la justice n'a pas validé les théories développées par les femmes relaxées. La cour d'appel ne s'est pas prononcée sur le fond de la rumeur transphobe. ## Relaxation des prévenues dans l'affaire de diffamation contre Brigitte Macron

La relaxe des prévenues dans l'affaire de diffamation visant Brigitte Macron a été motivée par la cour, qui estime que les accusations portées à l'encontre de la première dame ne caractérisent pas une atteinte à son honneur ou à sa considération.

Décision de la cour d'appel et arguments avancés par la défense

Me Bigot, l'avocat des prévenues, a souligné que l'accusation de transition de genre et de dissimulation ne constituait pas une qualification pénale. De plus, la cour a jugé que les preuves fournies par les parties civiles concernant le prétendu "mariage frauduleux" entre Brigitte Macron et son premier mari comportaient des incohérences et des faiblesses.

En revanche, le seul passage retenu comme diffamatoire est celui faisant référence au détournement de mineur, mais les prévenues ont été relaxées en raison de leur bonne foi. La cour d'appel a souligné qu'elles n'étaient pas des professionnelles de l'information et s'étaient basées sur des articles de presse.

Suite des événements et réactions

Brigitte Macron, son frère et le ministère public ont fait appel de cette décision. Par ailleurs, le couple présidentiel a décidé de poursuivre en justice une influenceuse américaine aux Etats-Unis pour avoir relayé des informations infondées sur Brigitte Macron dans des vidéos.