COP30 : des heurts entre militants autochtones brésiliens et agents de sécurité
Des manifestants indigènes ont tenté de forcer l'entrée de la COP30 à Belem, au Brésil, lors d'une marche pour le climat et la santé.
Confrontation et évacuation
Plusieurs dizaines de militants autochtones brésiliens ont affronté les agents de sécurité de la conférence sur le climat de l'ONU à Belem. Après avoir dansé devant l'entrée de la COP30, ils sont entrés dans le bâtiment et ont été repoussés physiquement. Des barricades ont ensuite été mises en place pour sécuriser la zone. ## Sécurité à la COP30
Des policiers de l’ONU ont demandé aux personnes présentes à la COP30 d’évacuer le site composé de tentes géantes climatisées.
Témoignage d'une manifestante
Une manifestante a expliqué qu'ils avaient participé à une marche pour alerter sur la situation des peuples indigènes. Elle a souligné le fait que la destruction continue malgré la fin de la COP30.
Réaction de l'ONU
L'ONU n'a pas commenté les incidents et les manifestations des participants, malgré la volonté affichée par le Brésil de favoriser la participation indigène lors de cette conférence.