Quand les contrôleurs aériens décident de prendre les commandes
Ah, les contrôleurs aériens et leurs grèves, un véritable classique du paysage français. Le Syndicat national des contrôleurs du trafic aérien (SNCTA) a décidé de frapper fort en annonçant une nouvelle grève pour le 18 septembre, histoire de pimenter un peu nos voyages en avion. Parce que quoi de plus excitant que de se demander si notre vol sera annulé au dernier moment, n'est-ce pas ?
Demande salariale : l'inflation, cette grande méchante
Le SNCTA, dans toute sa générosité, demande le « rattrapage intégral de l'inflation » en matière salariale pour 2024. Parce qu'il est bien connu que l'inflation, ce monstre affamé, dévore nos pauvres contrôleurs aériens qui se battent vaillamment pour leur pouvoir d'achat. On ne peut que les soutenir dans cette quête de la sécurité financière, n'est-ce pas ?
Un échec du dialogue social...quand on se parle dans le vent
L'échec du dialogue social est invoqué par le SNCTA pour justifier cette nouvelle grève. Parce que rien ne vaut un bon petit bras de fer entre les syndicats et le gouvernement pour mettre un peu de piment dans nos vies. Espérons juste que nos vacances ne se transforment pas en cauchemar à cause de ces querelles intestines. ## Quand le ciel devient un champ de bataille
Ah, le contrôle aérien, un monde majestueux où les oiseaux métalliques planent gracieusement... ou pas. Selon le SNCTA, c'est plutôt un festival de défiance, de punitions et de gestion digne des pires émissions de télé-réalité.
Quand les aéroports se transforment en terrain de jeu pour adultes
Tiens, tiens, on se rappelle tous de ce joyeux bordel à Montpellier et Perpignan en décembre 2024. Merci le SNCTA pour cette magnifique performance qui a peut-être empêché quelques vacanciers d'atteindre leur destination de rêve.
Quand les syndicats font dans la dentelle
L'UNSA-ICNA et l'USAC-CGT, de vrais artistes de la grève qui ont réussi à annuler des milliers de vols et à semer la zizanie dans toute l'Europe. Bravo pour ce spectacle grandiose, on en redemande !