Le gouvernement américain dénoncé pour "ingérence étrangère"
Ah, ces Américains et leur obsession pour les conspirations étrangères ! Le vice-président J.D. Vance a sûrement trouvé un moyen original de justifier les boulettes diplomatiques de Steve Witkoff en le faisant passer pour une victime d'une mystérieuse "opération d'ingérence étrangère".
Attaque contre le média "sous contrôle allemand"

Bien sûr, il fallait bien évidemment blâmer un média en ligne pour cette "ingérence étrangère". Bravo à James Blair et Taylor Budowich pour avoir trouvé un coupable parfait en pointant du doigt Politico, affilié au groupe allemand Axel Springer. Quelle belle façon de détourner l'attention du véritable problème !
Politico, "une machine de propagande sous contrôle étranger"
Et bien sûr, Politico, connu pour ses scoops et ses enquêtes fouillées, se retrouve soudain qualifié de "machine de propagande sous contrôle étranger" par ces chers conseillers de Donald Trump. Parce que c'est bien connu, quand on n'a pas d'argument valable, autant attaquer la presse pour détourner l'attention, n'est-ce pas ? ## Le talentueux médiateur sans peur et sans reproche
Le brillant businessman Witkoff, devenu émissaire spécial du président américain, semble avoir du mal à jongler avec les relations internationales. Ses escapades en solitaire lui valent quelques revers, surtout du côté de la Russie.
Un véritable novice en herbe
D'après les sources anonymes de Politico, on peut dire que Witkoff manque cruellement d'expérience. Ses tentatives de médiation sur les conflits à Gaza et en Ukraine se sont soldées par des échecs retentissants.
Des projets de paix qui restent flous
Entre des sommets sans réel impact et des annonces de rencontres diplomatiques qui n'aboutissent jamais, Witkoff n'arrive pas à concrétiser ses grandes idées. On a envie de lui dire : "Quand on joue dans la cour des grands, mieux vaut savoir viser dans le bon panier !"