Révolte au Conseil constitutionnel: Les étrangers dangereux auront finalement moins de temps pour se reposer
Un coup dur pour Bruno Retailleau, qui voyait son rêve d'allonger la durée de rétention des étrangers jugés dangereux passer de 90 à 210 jours tomber à l'eau. Le Conseil constitutionnel a tranché, et visiblement, les membres n'ont pas apprécié l'idée.
Liberté individuelle VS prévention des atteintes à l'ordre public : le match de l'été
Le Conseil constitutionnel rappelle avec subtilité que même les étrangers dangereux ont le droit d'avoir un peu d'air frais. Pas question de les enfermer plus longtemps sans une bonne raison. L'équilibre entre sécurité et liberté individuelle est précaire, mais c'est un jeu auquel la politique semble aimer jouer.
Quand Bruno Retailleau pensait avoir trouvé la solution miracle, le Conseil constitutionnel a vite remis les pendules à l'heure
La vie est dure pour ceux qui veulent envoyer balader les droits des étrangers jugés dangereux. Bruno Retailleau en fait les frais, avec sa mesure phare qui part en fumée. Le Conseil constitutionnel, gardien des libertés, veille au grain et rappelle que même les méchants étrangers ont des droits. Une belle leçon d'humanité dans ce monde de brutes. ## Encore une merveilleuse idée de nos chers politiciens
Ah, les joies de la politique… Le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, a brillamment proposé une mesure qui va sûrement révolutionner nos vies ! Il s'agit de prolonger la durée de maintien en centre de rétention administrative d’étrangers condamnés pour des crimes graves. Parce qu'évidemment, 90 jours c'était beaucoup trop court pour réfléchir à ses actes.
Une générosité débordante
Le Conseil constitutionnel, toujours plein d'humour, a relevé à juste titre que la nouvelle loi s'appliquerait même à des infractions qui ne sont pas vraiment "d’une particulière gravité". Parce qu'après tout, pourquoi se limiter aux grosses bêtises quand on peut être puni pour des broutilles ?
L'immigration irrégulière, nouvelle cible de l'humour noir
En tout cas, on peut dire que nos dirigeants ne manquent pas d'idées loufoques pour lutter contre l'immigration irrégulière. Quel dommage que le Conseil constitutionnel ne comprenne pas l'humour absurde de cette mesure disproportionnée. Qui a dit que la politique n'était pas un terrain de jeu ?