Le scandale des amendes CNIL : Google et Shein épinglés pour leur gourmandise en cookies
Ah, c'est pas joli-joli tout ça, Google et Shein se sont fait taper sur les doigts par la CNIL pour leur appétit insatiable en matière de cookies. Une amende de 325 millions d'euros pour Google et 150 millions d'euros pour Shein, autant dire que ça fait mal au porte-monnaie.
Cookies, ces friandises tant aimées des grandes entreprises du web

Les cookies, ces doux petits traceurs qui nous suivent partout sur internet pour mieux nous bombarder de publicités ciblées. Un vrai régal pour les géants du web comme Google et Shein... jusqu'à ce que la CNIL vienne mettre son grain de sel.
Google et Shein dans la tourmente : des amendes XXL pour des cookies trop croquants
Les deux entreprises se sont fait gronder par la CNIL pour avoir omis de demander gentiment notre consentement avant de se servir goulûment en cookies publicitaires. La loi, c'est la loi, messieurs-dames. La CNIL ne rigole pas avec les sucreries numériques. Au moins, ça fera réfléchir les plus gourmands ! ## La CNIL s'en prend à Shein et Google : ces petits farceurs de l'internet
Ah, la CNIL et ses remontrances... Cette fois-ci, c'est Shein et Google qui se sont attirés les foudres de l'autorité de régulation. La grosse tuile pour ces deux géants du web qui ont pris un peu trop de libertés avec les cookies.
Shein se fait taper sur les doigts, mais se rattrape
Shein, le célèbre site de vente en ligne, s'est fait épingler pour avoir zappé le consentement des utilisateurs concernant certains cookies. Alors là, c'est du lourd. Mais pas de panique, Shein a vite corrigé le tir pour se mettre en conformité avec les exigences de la CNIL. Courage, Shein, la prochaine fois, tu feras attention !
Google, la récidive en matière de cookies
Et que dire de Google… Troisième fois que la CNIL lui tape sur les doigts à cause de ses cookies. Décidément, les leçons ne rentrent pas. Google, en bon élève dissipé, a été pointé du doigt pour son mécanisme de retrait du consentement défaillant. Allez, Google, un peu de sérieux !