La censure du Conseil constitutionnel : quand Bruno Retailleau se fait taper sur les doigts

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Quand la censure s'en mêle

Ah, la fameuse censure du Conseil constitutionnel ! Bruno Retailleau doit se sentir bien seul avec sa mesure pour allonger la rétention des étrangers considérés comme dangereux. Et dire qu'il pensait que ça allait passer comme une lettre à la poste, quelle naïveté !

Un ministre modifié

Mais voilà, après s'être fait taper sur les doigts, le voilà qui annonce qu'il va présenter un "texte modifié". Ah, les fameuses retouches de dernière minute pour essayer de sauver la face, on connaît tous ça. Les vieilles ficelles de la politique, toujours aussi efficaces.

La justice qui remet les pendules à l'heure

Le Conseil constitutionnel a tranché avec un argument imparable : la liberté individuelle n'est pas un buffet à volonté, on ne peut pas la restreindre comme ça juste pour le plaisir. Dommage pour Bruno, il va devoir revoir sa copie. En même temps, qui a dit que la politique était un long fleuve tranquille ? ## Le ministre de l'intérieur désavoué

Ah, le fameux ministre de l'intérieur qui pensait avoir trouvé LA solution pour lutter contre les étrangers dangereux ! Augmenter la durée de rétention, quel génie ! On sentait déjà les terroristes trembler d'effroi devant une mesure aussi redoutable.

Référendum pour tous !

Ah, le ministre adepte de la ligne dure sur l'immigration qui voudrait bien que le peuple se prononce par référendum sur ces sujets brûlants. Quoi de mieux que de laisser le peuple décider s'il préfère rester dans son ignorance ou s'ouvrir à un débat enflammé sur l'immigration et la sécurité ? Quelle belle démonstration de démocratie !