Des adorateurs de Bolsonaro en folie !
La nouvelle a fait l'effet d'une bombe au Brésil : des milliers de gens ont décidé de manifester leur amour pour Bolsonaro. Pourtant, ce n'est pas tous les jours qu'on voit des gens défiler pour un politicien accusé de conspiration pour rester au pouvoir malgré sa défaite électorale.
Les couleurs à l'honneur

Les supporters de Bolsonaro étaient tellement motivés qu'ils ont décidé de sortir dans les rues en vert et jaune, rappelant ainsi subtilement les couleurs du Brésil. Certains étaient même tellement emballés qu'ils ont sorti des drapeaux américains et des pancartes avec des remerciements à Trump. On sentait vraiment l'ambiance festive et relaxante dans l'air.
Absence remarquée
Cependant, il semblerait que Bolsonaro lui-même n'ait pas pu participer à ce grand rassemblement. Peut-être était-il trop occupé à préparer sa défense pour éviter la prison. En tout cas, on peut dire que ses supporters ont assuré le spectacle sans lui ! ## Bolsonaro obligé de porter un bracelet électronique
Le président brésilien Jair Bolsonaro, actuellement visé par une enquête pour obstruction présumée de son procès pour tentative de coup d’Etat, se retrouve dans une situation bien embarrassante. Obligé de porter un bracelet électronique, de rester chez lui soir et week-end, et interdit d’utiliser les réseaux sociaux, on dirait presque qu'il est en train de vivre un épisode de télé-réalité un peu particulier.
Une lourde peine de prison en prévision
Accusé d’avoir conspiré pour se maintenir au pouvoir malgré sa défaite électorale, Bolsonaro risque gros. Avec un procès qui devrait être bouclé dans les prochaines semaines, il est fort probable que le président brésilien se retrouve derrière les barreaux. Une situation qui doit lui donner des sueurs froides, surtout s'il aime autant la liberté que ses déclarations le laissent penser.
Des sanctions et des surtaxes pour pimenter la situation
En plus de ses déboires judiciaires, Bolsonaro doit aussi faire face à des sanctions financières et une surtaxe douanière de 50% sur certains produits brésiliens exportés vers les Etats-Unis. Une double peine, qui n'a rien de réjouissant pour le président d'extrême droite. On dirait bien que la malédiction présidentielle frappe encore une fois.