Jair Bolsonaro sous haute surveillance pour éviter qu'il ne prenne la fuite
La justice brésilienne ne rigole pas avec Jair Bolsonaro, l'ancien président assigné à résidence et sous bracelet électronique. Apparemment, il y aurait un "risque de fuite" pour l'ex-président qui ne supporte visiblement pas l'idée de se retrouver derrière les barreaux.
La théorie du complot pour se maintenir au pouvoir
Accusé d'avoir comploté pour rester au pouvoir "de façon autoritaire" après sa défaite face à Lula, Bolsonaro risque jusqu'à quarante ans de prison. Ah, la politique brésilienne réserve toujours de belles surprises, n'est-ce pas ?
Lindbergh Farias, le héros anti-fuite
Merci à Lindbergh Farias, député du Parti des travailleurs, d'avoir lancé l'alerte sur le "risque réel de fuite" de Bolsonaro. On peut toujours compter sur nos parlementaires pour nous protéger des méchants politiciens en cavale, n'est-ce pas ? ## Des restrictions nées d’une enquête pour entrave à son procès
Ah, on dirait que Jair Bolsonaro et son fils se retrouvent dans de beaux draps ! La police fédérale recommande carrément leur inculpation pour entrave à leur propre procès. C’est pas banal comme situation !
Un risque de fuite vers l’Argentine ou les Etats-Unis ?
Apparemment, les enquêteurs ont trouvé sur le téléphone de Bolsonaro papa une demande d'asile politique en Argentine. Quoi, il prévoit de s'exiler chez nos voisins les Argentins maintenant ? Et son fils Eduardo qui fait du lobbying aux Etats-Unis, rien que ça ! Ils sont prêts à tout pour échapper à la justice, ces Bolsonaro.
La saga des casquettes et des visas
Et pendant ce temps, Trump impose des taxes à tout-va sur les exportations brésiliennes, invoquant une chasse aux sorcières. Ça devient le gros bazar diplomatique ! Lula dénonce les gestes irresponsables des Américains et les ministres se lancent dans une bataille de casquettes. C’est du grand n’importe quoi, on dirait un mauvais épisode de telenovela.