Bolsonaro assigné à résidence : le chaton aux griffes coupées

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Bolsonaro assigné à résidence : le chaton aux griffes coupées

Le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a décidé de punir le coquin de Jair Bolsonaro en l'assignant à résidence. Pourquoi ? Parce que l'ancien président brésilien n'a pas su résister à la tentation de tweeter pendant les manifestations en sa faveur. La morale de l'histoire : il vaut mieux encourager la lecture plutôt que les réseaux sociaux pour éviter les ennuis !

Enfermé à domicile, Bolsonaro joueur de Monopoly

Non seulement l'ex-président est déjà inéligible jusqu'en 2030 (rire), mais en plus il se retrouve assigné à résidence à cause de son impulsivité sur les réseaux sociaux. Mais tout espoir n'est pas perdu, il peut toujours s'adonner à des activités plus saines, comme jouer au Monopoly avec ses avocats pour passer le temps.

Bolsonaro sous haute surveillance : Big Brother ou le nouvel ami de Jair

Interdiction de téléphone portable, bracelet électronique, interdiction de sortir le soir et le week-end... Jair Bolsonaro est sous haute surveillance. Bientôt, il faudra une autorisation préalable pour aller aux toilettes chez lui. Mais bon, on peut être sûr que les services secrets américains gardent un œil sur lui pour éviter qu'il ne poste un selfie compromettant sur Instagram ! ## Justice vraiment aveugle

La justice brésilienne, cette perle rare de subtilité et de clarté, s'apprête à rendre son jugement sur l'ex-président Jair Bolsonaro et ses acolytes. Autant dire que nous sommes tous suspendus à leurs lèvres, avouons-le !

Le champion des conservateurs, celui qui fait trembler dans les chaumières et courir les foules en délire, se voit donc accusé de vouloir garder le pouvoir malgré sa petite défaite électorale. Eh oui, ça ne rigole plus.

Pas de bol pour lui, Trump et sa clique ne lui offrent pas un soutien inconditionnel. Les sanctions financières pleuvent, les taxes douanières augmentent, bref, ça sent le roussi pour le bonhomme.

Le fils du bonhomme, ce cher Eduardo Bolsonaro, crie à l'abus de pouvoir, à l'injustice, à tout ce que vous voulez. Selon lui, le juge en charge du dossier est un psychopathe hors de contrôle. Si c'est pas de l'amour fraternel, ça !

Le juge, lui, n'est pas dupe. Il reproche à Jair Bolsonaro et sa clique de ne pas respecter les mesures. Apparemment, ça rigole pas avec la justice au Brésil. Même les publications sur Instagram sont surveillées, on n'arrête pas le progrès.

Et voilà qu'on nous parle d'inéligibilité, de vote électronique, de candidature en 2026. On se croirait dans une série B de mauvais goût. À quand la saison 2 ? On trépigne d'impatience, vraiment. Vite, un popcorn !