L'ex-président Bolsonaro aurait tenté de fuir au pays du tango
Dans une tentative d'échapper à la justice brésilienne, l'ancien chef d'État Jair Bolsonaro aurait envisagé de demander l'asile politique en Argentine, selon des révélations croustillantes de la police fédérale. Apparemment, il aurait préféré le tango à la samba pour se la couler douce.
Bolsonaro et son fils dans de beaux draps judiciaires

En plus de vouloir jouer les réfugiés politiques, Jair Bolsonaro et son fils se retrouvent dans une situation assez délicate avec la justice. Ils risquent de devoir entreprendre une reconversion professionnelle en fabricants de cercueils, car la peine encourue pour tentative de coup d'État peut aller jusqu'à 40 ans de prison. On espère qu'ils auront des réductions pour bonne conduite en prison.
La lettre fleuve de Bolsonaro à Milei
Pour couronner le tout, on découvre une lettre de 33 pages rédigée par Bolsonaro à l'attention du président argentin Javier Milei. On peut imaginer les détails de cette correspondance : "Cher Javier, j'ai besoin d'un plan B, car la répression politique est vraiment désagréable au Brésil en ce moment. Ton pays semble être une destination parfaite pour un ancien dictateur en herbe comme moi". Qui a dit que les politiciens brésiliens manquaient d'humour ? ## Un président pas comme les autres
Le passeport de l'ancien président brésilien n'est pas en vacances à Hawaii, non, il a été saisi par la Cour suprême du Brésil, quelle bande de rigolos, le 8 février 2024. Il n'en revient pas, il a pourtant tenté à plusieurs reprises de le récupérer, mais rien à faire, surtout depuis l'investiture de Donald Trump en janvier 2025. Les choses se gâtent, paraît-il, à cause d'un risque de fuite, est-ce qu'on parle de fugue ou bien de délit de fuite, on ne sait plus.
Des recommandations qui ne passent pas inaperçues
La police a fait une demande, rien à voir avec une liste de courses, en fait, elle réclame que Jair Bolsonaro et son fils Eduardo soient poursuivis pour avoir tenté d'entraver les poursuites pour coup d'État. Rien que ça ! La police estime même que père et fils ont agi sous l'impulsion d'un scénario de série policière, dans le but d'interférer dans le déroulement de l'action pénale. Ça sent le suspens à plein nez. Ils risquent gros, jusqu'à douze ans de prison, de quoi leur laisser le temps de lire quelques livres de droit en prison.
Les bras de fer en famille
Et que dire du fils rebelle, installé aux Etats-Unis, qui met son mandat de parlementaire entre parenthèses pour jouer les preux chevaliers auprès des autorités américaines. Il dénonce la « tyrannie » du juge de la Cour suprême, rien que ça ! Mais attendez, ça ne s'arrête pas là, il revendique fièrement son rôle dans la surtaxe douanière infligée au Brésil par l'administration Trump, comme quoi, la famille, c'est sacré. En tout cas, cette affaire promet d'être plus animée qu'un épisode des Feux de l'Amour.