Guerre des mots à Besançon
La municipalité de Besançon a décidé d'annuler la participation de Raphaël Enthoven à un festival littéraire suite à ses déclarations controversées sur Gaza. Oh, mince alors, les mots peuvent vraiment avoir du pouvoir !
Un festival sans philosophe

Le philosophe se retrouve privé de micro pour exprimer ses opinions. Dommage, on aurait bien aimé entendre ses pensées profondes sur la littérature et la guerre au Proche-Orient. ## Enthoven, le fin observateur des réseaux sociaux
Tiens tiens, voilà notre cher Raphaël Enthoven, romancier à ses heures perdues, qui s'est aventuré sur le terrain glissant des réseaux sociaux pour nous livrer des perles de sagesse. Mais attention, il ne s'est pas contenté de parler de la pluie et du beau temps.
Une réflexion bien construite
Dites donc, il a tapé fort en déclarant qu'à Gaza, il n'y a pas de journalistes, seulement des tueurs, des combattants ou des preneurs d'otages qui se baladent avec une carte de presse. Ah oui, quand on balance des mots comme ça, on s'attend forcément à des réactions enflammées. Et le lendemain, rebelote, il en rajoute une couche en parlant des fameux "journalistes libres" de Gaza. Ça sent le vécu tout ça.
La réaction du PCF de Besançon
Evidemment, après de tels propos, Enthoven s'est pris une pluie d'insultes et de menaces de mort. Rien que ça. Le PCF de Besançon a condamné ces réactions excessives tout en rappelant que les déclarations de l'intéressé étaient tout simplement inacceptables. Mais bon, rien de bien grave, on s'habitue à la routine des polémiques médiatiques.
Allez, c'est parti pour une nouvelle journée où les réseaux sociaux seront le théâtre des joutes verbales les plus acerbes. Que le spectacle continue !