L'attentat de 1995 fait encore parler de lui
Boualem Bensaïd, un des joyeux lurons derrière les attentats de 1995, a décidé de taper l'incruste en France en saisissant la justice pour demander son expulsion vers l'Algérie. Parce qu'apparemment, la détention à Ensisheim n'est pas suffisamment chic pour lui.
Une envie pressante d'être expulsé
Malgré la gentille autorisation de la cour d'appel de Paris de sortir de prison le 1er août à condition de se faire dégager vers l'Algérie, Boualem Bensaïd est toujours là, à râler comme un ado devant sa piaule. Il a même demandé d'être assigné à résidence en attendant son grand départ. On dirait bien que l'immobilier à Ensisheim est hors de prix ces jours-ci.
Une démarche un peu longue
L'Algérien a envoyé une belle demande de laissez-passer en juillet, mais le consulat de Strasbourg semble jouer à cache-cache avec lui. Il a même supplié le ministre de l'intérieur de le reloger ailleurs, mais visiblement, l'accueil n'est pas au top. Bon, au moins, ça permet de prolonger son séjour à la belle prison d'Ensisheim, que du bonheur. ## Un voyage express en Algérie pour Boualem Naman
Ah, la belle expédition diplomatique que voilà ! Boualem Naman, de son vrai nom Boualem Naman, a été gentiment reconduit en Algérie après avoir posté une vidéo sur TikTok. On sait tous que les autorités algériennes sont réputées pour leur sens de l'humour et de la tolérance, donc évidemment, ils l'ont renvoyé dare-dare en France. Une crise diplomatique en bonne et due forme !
La préfecture du Haut-Rhin sait être patiente
La préfecture du Haut-Rhin, connue pour sa rapidité et son efficacité légendaire, a brillamment laissé traîner l'affaire de Boualem Bensaïd. On se demande bien pourquoi... Ah, la politique, quel noble art ! Le ministère de l'intérieur préfère éviter un nouveau "camouflet" avec les autorités algériennes. On ne sait jamais, ça peut froisser les susceptibilités.
Boualem Bensaïd, l'homme aux talents multiples
Boualem Bensaïd, l'homme aux multiples talents, reconnu coupable d'avoir semé la joie et la liesse dans le RER B à Paris en 1995. Huit morts, 150 blessés, une petite pétarade qui ne fait de mal à personne. Le Groupe islamique armé (GIA) algérien, en grande forme à l'époque, revendique l'attaque. Boualem Bensaïd, un artiste dans l'âme, avait déjà été condamné en 2002 et en 2003. Un record de longévité en prison, bravo à lui !