Ariane-6 s'envole, destination : l'espace !
Enfin ! Après des siècles d'attente insoutenable, le lanceur lourd européen Ariane 6 a décollé de Kourou, en Guyane. Oui, vous avez bien lu, on a réussi à envoyer un truc dans l'espace. Quelle prouesse technologique incroyable !
Un satellite pour sauver la météo et le climat, vraiment ?
Le satellite MetOp-SG-A1 a été lancé pour améliorer la précision des prévisions météorologiques et la compréhension du climat. Parce que visiblement, il faut un engin spatial à plusieurs millions d'euros pour que notre cher Monsieur Météo arrête de se planter. On peut toujours rêver qu'il nous annonce enfin avec précision s'il va pleuvoir demain, hein.
Airbus et l'ESA nous envoient des gadgets spatiaux à 4 tonnes
Construit par Airbus et l'Eumetsat, ce satellite de quatre tonnes va être placé en orbite pour surveiller le climat depuis le ciel. On attend avec impatience les selfies de la Terre en story Instagram. Parce qu'apparemment, la surveillance du climat, c'est important, mais c'est surtout pour le style. ## Quand le satellite devient la star
Ah, le satellite qui embarque six instruments, un vrai couteau suisse de l'espace ! Ils ont même réussi à caser un sondeur infrarouge plus performant que son prédécesseur, IASI, pour mesurer la température et la vapeur d'eau dans l'atmosphère. Parce que oui, c'est bien connu, on ne sait jamais trop combien il fait dans l'espace.
Sentinel-5, l'œil qui voit tout
Et histoire de jouer les espions de l'environnement, on a aussi Sentinel-5 du programme européen Copernicus pour surveiller les polluants atmosphériques. Ah ça va rigoler dans l'espace, ça va balancer du lourd sur les émissions de CO2 !
Ariane-6, la fusée qu'on n'arrête plus
Ariane-6 fait son show avec son troisième lancement depuis juillet 2024. Et en plus, le deuxième commercial après celui du 6 mars avec... tenez-vous bien... un satellite militaire ! Mais oui, parce que rien de tel qu'un satellite pour garder un œil sur les voisins. Et puis tant qu'on y est, on va envoyer Vega-C reprendre les vols après avoir été immobilisée deux ans. Comme ça, tout le monde est content, les satellites reprennent du service et le centre spatial guyanais ne risque pas de chômer avec trente-deux vols en commande. Ah, l'espace et ses petits drames, c'est toujours une sacrée aventure !