Un épisode de violence bien animé en Angola
Ah, l'Angola, son pétrole, ses manifestations et ses "exécutions sommaires". Rien de tel pour pimenter un été en Afrique australe !
Quand une grève de chauffeurs de taxi dégénère en bain de sang

Tout a commencé fin juillet, lorsque la grève des chauffeurs de taxi contre l'augmentation du prix des carburants a dégénéré en véritable chaos. Vous voyez le tableau : magasins pillés, entrepôts ravagés, voitures attaquées... Un vrai manège d'attractions pour les amateurs de sensations fortes.
Quand la police se prend pour un studio Hollywoodien
Mais ce qui a surtout retenu l'attention, ce sont les accusations des ONG. Selon elles, au lieu de jouer les bons samaritains et de maintenir l'ordre avec classe, la police a préféré sortir les gros calibres et faire un peu de nettoyage. Résultat : des vidéos digne d'un mauvais film d'action avec des policiers tirant sur des foules innocentes, des "exécutions sommaires et arbitraires" comme on les aime. Et bien sûr, des enquêtes indépendantes sont demandées, histoire de chercher qui a oublié de jouer à la baguette magique ce jour-là. En tout cas, ça ne manque pas de suspense en Angola, ça c'est sûr ! ## Quand la passion pour l'essence tourne à la pénurie sur fond de pillages
Ah, l'Angola, ce pays où le prix du carburant fait couler autant d'encre que de pétrole ! Plus de **1 500 personnes ont été arrêtées, 118 entreprises vandalisées et 24 bus publics attaqués,** mais rien de bien original pour un pays en proie à la passion pour l'essence.
Les joies de la hausse des prix, du chômage et de l'inflation
Alors que le président angolais, Joao Lourenço, pleure des larmes de crocodile sur les **« crimes punissables et condamnables » de la part des pillards,** on ne peut que saluer le sens de l'humour noir qui règne dans ce pays en proie à une inflation d'environ 20 % et un taux de chômage frôlant les 30 %.
Une révolte qui sent bon l'essence et les soucis économiques
Les manifestations contre la hausse du prix du carburant, passant de 300 à 400 kwanzas (de 0,28 à 0,38 euro) le litre, sont le comble pour un pays qui n'a plus que ses yeux pour pleurer face à des subventions qui s'envolent. Mais bon, on ne va pas leur jeter la pierre, l'essentiel étant de garder le sens de l'humour, même en période de crise !