Devoir de citoyen accompli
Dans un élan de civisme, un adolescent de 17 ans a eu la brillante idée de se livrer à une course-poursuite avec les forces de l'ordre après le vol d'un deux-roues à Châtenay-Malabry. Malheureusement, son sens de l'entraide n'a pas été récompensé à la hauteur de ses attentes.
Oups, une voiture de police, ça pardonne pas

Après être sorti de l'utilitaire volé et avoir tenté de prendre la fuite à pied tel un champion olympique, le jeune philanthrope s'est retrouvé percuté par une voiture de police. Voilà une manière peu conventionnelle de demander de l'aide à la police, ouvrir un compte sur Facebook aurait peut-être été plus efficace.
Des fuites qui finissent mal
Dans ce scénario digne d'un film d'action raté, une deuxième personne présente dans le véhicule volé a eu la chance de profiter de l'hospitalité des forces de l'ordre en garde à vue. Une belle manière de rendre hommage à cette escapade nocturne mouvementée. ## Quand l'utilitaire fait une pause à la station-service
Ah, les pauses à la station-service, on connaît ça, on a tous déjà été tentés par un petit paquet de chips et une cannette de soda bien fraîche. Mais cet adolescent de 17 ans, lui, a décidé que c'était le moment parfait pour une petite séance de sport. Il s'est offert une petite balade sur la route nationale 118, un footing improvisé, en somme.
Quand la brigade anticriminalité entre en scène
C'est là que les choses ont pris une tournure un peu plus mouvementée. Une voiture de la brigade anticriminalité (BAC) des Hauts-de-Seine a fait irruption dans la vie de cet ado en pleine forme. Le conducteur du véhicule a même tenté un freinage d'urgence, version policière du "toi là-bas, attention !" Mais bon, visiblement, ça n'a pas suffi.
Quand l'IGPN s'en mêle
Et voilà, le fin mot de l'histoire : le mineur est passé de son footing improvisé à un repos éternel quelques minutes plus tard. La seconde personne à bord de la voiture de police, quant à elle, a eu le privilège de passer la nuit en garde à vue. Ah, l'action, l'adrénaline, les péripéties de la nuit des Hauts-de-Seine. En tout cas, l'IGPN est sur le coup, mais ils n'avaient pas grand chose de plus à se mettre sous la dent samedi soir. Faut dire, enquêter sur un ado décédé, c'est pas l'éclate totale, même pour l'IGPN.