L'influenceuse Poupette Kenza mise en examen pour tentative d'extorsion en bande organisée
2 minutesL’influenceuse Poupette Kenza mise en examen
L’influenceuse Kenza Benchrif, plus connue sous le pseudonyme de Poupette Kenza, a été mise en examen pour tentative d’extorsion en bande organisée.
Des soupçons de recrutement d’intermédiaire
Elle est soupçonnée d’avoir recruté un intermédiaire pour menacer un couple avec lequel elle aurait un litige financier de plusieurs centaines de milliers d’euros. Selon les informations du parquet de Rouen, confirmant des révélations du Parisien et de France Bleu, l’influenceuse de 24 ans aurait été impliquée dans une tentative d’extorsion visant un couple en février 2024.
Un faux membre de cartel en réalité un négociateur musclé
Le soi-disant membre d’un cartel de drogue mexicain qui aurait tenté d’extorquer de l’argent au couple aurait en réalité été identifié comme un homme connu pour jouer le rôle de négociateur musclé dans le milieu des célébrités. Les victimes auraient été espionnées au moyen d’une balise GPS et de caméras lors de cette affaire.
Une influenceuse soupçonnée de tentative d’extorsion
L’incident de tentative d’extorsion en bande organisée et association de malfaiteurs, ainsi que pour détention d’explosif, a mis en examen une influenceuse star installée à Dubaï, Poupette Kenza.
Les enquêteurs sur la piste de Poupette Kenza
Bien que le suspect n’ait pas révélé l’identité de la personne qu’il accuse d’être la donneuse d’ordre, les enquêteurs ont dirigé leurs soupçons vers Poupette Kenza. Cette dernière aurait mentionné sur les réseaux sociaux le litige financier l’opposant à son ancienne associée, le jour même de la tentative d’extorsion. Les autorités ont saisi l’opportunité de son passage en France pour procéder à son arrestation le 4 juillet dans l’agglomération rouennaise.
Des accusations supplémentaires à l’encontre de l’influenceuse
En plus de l’affaire en cours, Poupette Kenza a été interrogée sur des allégations de pratiques commerciales trompeuses dans une autre procédure la concernant. Le parquet de Rouen a requis sa mise en détention provisoire, dont le débat est prévu pour le 11 juillet.