Le Limoges CSP sauve sa place en championnat grâce à un actionnaire providentiel

Limoges sauve sa place en championnat grâce à un nouvel actionnaire

Le Limoges CSP, rétrogradé pour raisons financières fin mai, a réussi à convaincre le gendarme financier du basket français de maintenir son statut professionnel.

Un nouvel actionnaire pour sauver le Club

Le Limoges CSP, onze fois champion de France, a évité la relégation en Elite grâce à l’arrivée d’un nouvel actionnaire prêt à injecter 1,6 million d’euros. Après avoir été sanctionné pour des irrégularités financières, le club a finalement réussi à conserver sa place en première division grâce à cet accord signé récemment.

Tractations serrées pour assurer l’avenir du club

Les pressions exercées par divers acteurs, dont le président démissionnaire du directoire du club et les collectivités locales, ont contribué à convaincre l’actionnaire majoritaire Céline Forte de revenir sur sa décision initiale et de céder le contrôle du Limoges CSP à Lionel Peluhet. Après des négociations intenses, un accord a été trouvé pour assurer l’avenir du club et éviter la relégation.

Limoges confirme sa place en Betclic Elite

La propriétaire du Limoges CSP a pris la décision de maintenir le club en Betclic Elite pour la saison à venir, suite à une condition financière clé. En effet, M Pelhuhet a déboursé 1,6 million d’euros pour combler un déficit estimé à 1 million d’euros.

Encadrement de la masse salariale sportive en vue

La DNCCG pourrait décider d’instaurer un “encadrement de la masse salariale sportive” à la suite de la réunion plénière du gendarme financier le 25 juin. Cette décision sera prise après confirmation de l’engagement de tous les clubs d’élite pour la saison prochaine.

Rétrospective sur les rebondissements du Limoges CSP

Le Limoges CSP, qui a connu un dépôt de bilan il y a vingt ans et a par la suite reconquis deux titres de champion de France en 2014 et 2015, a été le théâtre de conflits internes depuis le décès de Frédéric Forte en 2017. La gestion du club a été marquée par des tensions au sein de la direction et des enjeux de gouvernance.