Violente attaque contre la première ministre danoise à Copenhague : réactions des personnalités politiques européennes
2 minutesAttaque contre la première ministre danoise à Copenhague
La première ministre danoise, Mette Frederiksen, a été agressée par un homme vendredi 7 juin sur une place de Copenhague, ont annoncé ses services. L’agresseur a été rapidement arrêté et la cheffe du gouvernement a été choquée par l’incident.
Élections européennes imminentes
Cette agression intervient à quelques jours des élections européennes auxquelles les Danois sont appelés à participer. La première ministre Mette Frederiksen a été frappée par un individu sur la place Kultorvet à Copenhague. La police de la ville a confirmé l’incident sans fournir de détails supplémentaires, précisant qu’une personne a été arrêtée et qu’une enquête est en cours.
La sécurité de la première ministre en question
Cet incident soulève des questions sur la sécurité de la première ministre danoise et met en lumière les risques auxquels les dirigeants politiques peuvent être confrontés dans l’exercice de leurs fonctions. Pour le moment, les autorités n’ont pas fourni d’informations supplémentaires sur les circonstances exactes de l’agression.
Réactions des personnalités politiques européennes
Le ministre de l’environnement danois, Magnus Heunicke, exprime son émoi après l’agression de la première ministre Le ministre de l’environnement danois, Magnus Heunicke, a réagi vivement après l’agression de la première ministre danoise. Il a déclaré sur les réseaux sociaux que cet acte ne devrait pas se produire dans un pays tel que le Danemark, réputé pour sa sécurité et sa liberté.
Condamnation des actes par les dirigeants européens
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, condamne fermement l’attaque comme un “acte méprisable” allant à l’encontre des valeurs européennes. Elle souligne que cet événement est en contradiction avec les principes défendus au sein de l’Union européenne.
La réaction de la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, va dans le même sens en qualifiant l’agression de “révoltante” et en affirmant que la violence n’a pas sa place en politique. De son côté, Charles Michel, président du Conseil européen, se dit “indigné” et condamne avec fermeté cette “lâche agression”.