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Le Club France aux JO de Paris 2024 en difficulté financière : quelles solutions ?
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Le Club France aux JO de Paris 2024 en difficulté financière : quelles solutions ?

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Financement du Club France pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024

Le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) ne recevra pas de rallonge financière de la part de l’Etat pour le Club France durant les Jeux Olympiques de Paris 2024.

Décision gouvernementale confirmée

La ministre des sports et des Jeux Olympiques, Amélie Oudéa-Castéra, a confirmé que l’Etat maintiendra son soutien financier actuel pour le Club France, avec 1 million d’euros alloué au Club France olympique et 700 000 euros versés au Club France paralympique. Cette décision fait suite à la demande du président du CNOSF, David Lappartient, pour une rallonge de 500 000 euros.

Budget du Club France et perspectives pour les Jeux Olympiques

Le budget du Club France, initialement estimé à 16,6 millions d’euros, a rencontré des difficultés pour être bouclé, avec des coûts estimés entre 22 et 23 millions d’euros. Malgré ces défis, le CNOSF et le CPSF restent engagés à contribuer respectivement avec 4,5 millions et 2,5 millions d’euros pour assurer le bon déroulement des Jeux Olympiques.

Déséquilibre budgétaire pour le Club France aux JO de Paris 2024

Le délégué interministériel aux JOP, Michel Cadot, est confronté à un défi financier pour le Club France lors des Jeux Olympiques de Paris 2024. En effet, le budget de 3 à 5 millions d’euros pose un problème de financement, le CNOSF peinant à trouver des fonds privés.

Explications du déséquilibre budgétaire

M. Lappartient a souligné que les coûts de sécurité étaient plus élevés que prévu, contribuant au déséquilibre budgétaire. De plus, les recettes attendues sont moins importantes, en partie parce que certaines fédérations sportives ont décidé de ne pas rejoindre le Club France.

Mesures prises pour résoudre le problème

Face à cette situation, les autorités reconnaissent le possible déséquilibre budgétaire tout en soulignant que la billetterie n’a ouvert qu’en mi-avril et que les ventes d’hospitalités sont toujours en cours. Le CNOSF devra puiser dans ses ressources propres pour combler ce manque, malgré le soutien financier historiquement important du ministère des sports et des JOP.