L'agresseur de Paul Pelosi condamné à trente ans : quand la désinformation mène à la violence politique

Condamnation à trente ans de prison pour l’agresseur de Paul Pelosi

David DePape, l’agresseur du mari de Nancy Pelosi, a été condamné à trente ans de prison après avoir fracturé le crâne de Paul Pelosi en 2022.

Un acte prémédité lié à la désinformation

Le procès a révélé que DePape, un charpentier canadien en situation illégale, était imprégné de désinformation et avait délibérément ciblé Nancy Pelosi en raison de son rôle politique.

Une attaque planifiée contre un symbole politique

Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre des représentants, était régulièrement la cible de théories complotistes. DePape avait planifié son attaque quelques jours avant les élections américaines de mi-mandat, mais s’était trompé de cible, la parlementaire étant absente lors de l’attaque.

Alerte à l’agression chez Paul Pelosi : l’intervention de la police

Lors de l’agression de David DePape chez Paul Pelosi, ce dernier a réussi à alerter la police à temps pour une intervention in extremis. L’incident, capturé par la caméra-piéton des agents de San Francisco, a laissé des traces profondes sur l’octogénaire.

Une affaire marquée par la désinformation et les divisions politiques

L’agression de Paul Pelosi, survenue peu de temps avant les élections de mi-mandat, a mis en lumière les effets de la désinformation sur la campagne électorale et les divisions profondes au sein de l’Amérique. Certains membres du Parti républicain ont minimisé l’attaque ou ont exprimé des doutes, malgré les preuves vidéo.

Mise en lumière de théories complotistes par Elon Musk

Le patron de X, Elon Musk, a relayé puis effacé une théorie complotiste visant à minimiser l’agression chez Paul Pelosi. Cette théorie suggérait qu’il s’agissait en réalité d’un rendez-vous à caractère sexuel ayant mal tourné.