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Le gouvernement revient sur sa décision : les heures supplémentaires épargnées dans l'Éducation nationale

Le gouvernement revient sur sa décision : les heures supplémentaires épargnées dans l'Éducation nationale

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Le gouvernement fait marche arrière sur les coupes budgétaires des heures supplémentaires

Après un tollé provoqué par la révélation de mesures d’économie touchant les heures supplémentaires dans les collèges et lycées, Gabriel Attal et Nicole Belloubet réagissent.

Priorité à l’éducation nationale : les moyens maintenus pour mener à bien les missions des établissements

Le gouvernement annonce officiellement sa décision de maintenir les moyens nécessaires pour que les établissements scolaires puissent remplir leurs missions, revenant ainsi sur les coupes budgétaires prévues pour les heures supplémentaires.

Nicole Belloubet donne instruction aux académies pour rétablir les moyens budgétaires dès demain

Dans un communiqué, la ministre de l’Éducation nationale, Nicole Belloubet, annonce que les moyens budgétaires initialement prévus seront rétablis dès demain afin de permettre la poursuite de l’attribution des heures supplémentaires dans les établissements scolaires.

Mesures d’économie dans l’Éducation nationale : colère et inquiétude du personnel

Les rectorats envoient des consignes aux établissements scolaires, provoquant une vague de mécontentement parmi les personnels de l’éducation nationale. Les heures supplémentaires, essentielles pour de nombreuses missions, sont particulièrement concernées.

Menace sur les dispositifs des collèges et lycées

Le retrait de moyens annoncé touche l’ensemble des établissements, y compris ceux de l’éducation prioritaire. En conséquence, de nombreux dispositifs des collèges et lycées sont mis en péril, à quelques mois seulement de la fin de l’année scolaire.

Un budget éducatif restreint dans le cadre du plan d’économies

La somme de 683 millions d’euros doit être rendue par l’éducation nationale dans le cadre du plan visant à annuler 10 milliards d’euros de crédits d’ici 2024. Cette contrainte budgétaire soulève de vives inquiétudes quant à l’avenir des missions éducatives et du fonctionnement des établissements scolaires.