Continental accepte de payer une amende de 100 millions d'euros dans le cadre du Dieselgate : Un éclaircissement sur la responsabilité des fournisseurs
2 minutesLe fournisseur Continental accepte de payer une amende de 100 millions d’euros dans le cadre du “Dieselgate”
La société Continental, deuxième équipementier automobile mondial, a accepté de verser une amende de 100 millions d’euros pour mettre un terme aux poursuites dans l’affaire du scandale des moteurs diesel truqués du groupe Volkswagen. Cette décision marque la fin des accusations à l’encontre du fournisseur de Volkswagen, en lien avec la dissimulation des émissions polluantes de 11 millions de véhicules diesel en 2015.
Une sanction pour “négligence” autour de la livraison de logiciels manipulés
L’amende infligée à Continental est liée à des accusations de “négligence” concernant la fourniture de logiciels de calcul et de contrôle pour les moteurs truqués. En tant que fournisseur de Volkswagen, Continental s’est retrouvé sous le feu des enquêtes aux côtés du leader du marché, Bosch, suite aux révélations du “dieselgate” sur la dissimulation des niveaux réels d’émissions polluantes.
Continental met fin aux poursuites en acceptant de payer l’amende
En acceptant de payer l’amende de 100 millions d’euros, Continental met un point final aux procédures judiciaires à son encontre liées au scandale des moteurs diesel manipulés. Cette décision souligne les répercussions continues du “dieselgate” sur l’industrie automobile et met en lumière les responsabilités des fournisseurs dans ce type de scandales environnementaux.
Continental boucle l’affaire des fraudes dans l’industrie automobile
Après des accusations de fraudes, Continental met fin à une affaire qui a secoué l’industrie automobile allemande.
Poursuites en cours contre une quarantaine de personnes
Bien que Continental ait réglé l’amende, les poursuites se poursuivent pour une quarantaine de personnes liées au groupe.
Jugement imminent pour les anciens cadres dirigeants
Les anciens cadres dirigeants font face à des accusations de fraude, tandis que des techniciens sont poursuivis pour complicité. Le procès de l’ancien PDG de Volkswagen, Martin Winterkorn, est prévu pour septembre. De son côté, l’ancien PDG de la filiale Audi, Rupert Stadler, a fait appel de sa condamnation à vingt et un mois de prison avec sursis et une amende de 1,1 million d’euros, prononcée en juin.