Photo non contractuelle
Procès en appel de l'attentat de Nice : les accusés plaident l'innocence
Articles similaires

Procès en appel de l'attentat de Nice : les accusés plaident l'innocence

 2 minutes

Ouverture du procès en appel de l’attentat de Nice

Le procès en appel de deux proches de l’auteur de l’attentat au camion-bélier sur la promenade des Anglais, à Nice, qui a fait quatre-vingt-six morts le 14 juillet 2016, s’est ouvert lundi 22 avril devant la cour d’assises spéciale de Paris.

Les accusés font appel

Les deux accusés, Mohamed Ghraieb, un Franco-Tunisien de 48 ans, et Chokri Chafroud, un Tunisien de 44 ans, sont les seuls des huit accusés de première instance à avoir fait appel. Ils avaient été condamnés à dix-huit ans de réclusion pour participation à une association de malfaiteurs terroriste criminelle.

Les attentes des victimes

À l’ouverture de l’audience, présidée par le magistrat Christophe Petiteau, les deux hommes se sont contentés de décliner leur identité. Les premiers mots des accusés ne sont pas prévus avant mardi. Neuf mineurs devraient s’exprimer pour la première fois à l’occasion de ce procès.

Début du procès en appel des complices de l’attentat de Nice

L’audience en appel des complices de l’attentat de Nice a débuté, avec la présence des parties civiles et des accusés. Comme lors du procès en première instance, l’audience est filmée et enregistrée pour les archives.

Une webradio pour suivre les débats en léger différé

Une webradio a été mise en place pour permettre aux parties civiles qui ne peuvent pas se rendre à Paris de suivre les débats en léger différé. Les deux accusés, Mohamed Ghraieb et Chokri Chafroud, avaient été reconnus coupables d’avoir participé au projet criminel de Mohamed Lahouaiej-Bouhlel lors du premier procès.

Plaidoyer pour l’acquittement

Durant les débats, les accusés ont toujours clamé leur innocence en affirmant ignorer les projets criminels de l’auteur de l’attentat. Leurs avocats ont déclaré à l’AFP qu’ils plaideraient l’acquittement. L’attentat de Nice reste l’un des plus meurtriers commis en France, et le procès en appel est prévu jusqu’au 14 juin.