Violente agression à Bordeaux : l'origine de l'altercation confirmée et le suspect abattu par la police

Agression à Bordeaux : origine de l’altercation confirmée

Le parquet de Bordeaux a confirmé qu’une agression au couteau ayant entraîné la mort d’une personne et blessé une autre était liée à un différend lié à l’alcool.

Pas de lien avec le terrorisme, selon le parquet

La procureure de la République de Bordeaux a déclaré qu’aucun élément ne laissait penser que l’attaque avait une connotation terroriste. L’auteur présumé, d’origine afghane, aurait eu une altercation similaire auparavant.

Ouverture de deux enquêtes judiciaires

Le parquet de Bordeaux a ouvert deux enquêtes judiciaires : une visant l’assaillant pour des chefs de meurtre, tentative de meurtre et violence avec arme, et l’autre pour homicide volontaire afin d’élucider les circonstances dans lesquelles la police a dû intervenir.

Violente agression sur les quais de la Garonne

Le parquet de Bordeaux saisit l’IGPN

Le parquet de Bordeaux a annoncé avoir saisi l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN) après une violente agression survenue mercredi 10 avril en soirée sur les quais de la Garonne.

Des individus poignardés lors d’une altercation

Selon les premiers éléments de l’enquête, deux individus algériens auraient été invectivés puis agressés par un individu pour des raisons liées à leur consommation d’alcool. Après avoir été pris à partie, les deux hommes auraient riposté en lançant des canettes sur leur agresseur, qui aurait alors sorti un couteau pour les poignarder. Malheureusement, l’un des deux individus est décédé des suites de ses blessures.

Un policier abat l’assaillant en fuite

Le suspect, armé d’un couteau, a tenté de prendre la fuite et a été abattu par des policiers alors qu’il se trouvait sur un pont voisin. Malgré les sommations des forces de l’ordre pour qu’il lâche son arme, l’individu aurait adopté une attitude menaçante, contraignant les policiers à faire usage de leur arme pour neutraliser l’agresseur. Le décès de ce dernier a été constaté à 20 heures 10. Le parquet national antiterroriste (PNAT) reste en position d’évaluation en attendant que toute la lumière soit faite sur les motivations exactes de l’agresseur.