Adolescent de 15 ans tué à Romans-sur-Isère : suspect en garde à vue dans l'affaire de la Monnaie
2 minutesAdolescent de 15 ans tué à Romans-sur-Isère : suspect en garde à vue
Selon le procureur, l’homme soupçonné d’avoir tué l’adolescent s’est rendu aux autorités pour se rendre. Une autopsie prévue pour jeudi.
Le principal suspect, accusé d’avoir porté un coup mortel à un adolescent de 15 ans à Romans-sur-Isère, a été placé en garde à vue jeudi après s’être rendu aux autorités, a annoncé le procureur de la République de Valence.
L’adolescent a reçu un coup de couteau lors d’une altercation dans le quartier de la Monnaie. Malgré son transfert à l’hôpital, il est décédé peu après. L’enquête révèle une possible implication d’une famille rencontrant des tensions avec une autre.
Autopsie prévue pour éclaircir les faits
Une autopsie est prévue jeudi pour tenter d’éclaircir les circonstances du décès du jeune homme. Le suspect, jusque-là en fuite, s’est rendu spontanément et a été placé en garde à vue immédiatement.
Les autorités tentent de comprendre les raisons derrière cet acte violent et espèrent que l’autopsie permettra de faire la lumière sur ce tragique événement.
Interpellation d’un suspect dans l’affaire de la mort de Thomas à la Monnaie
Mercredi matin, une personne soupçonnée d’avoir conduit les suspects impliqués dans la mort de Thomas à la Monnaie a été interpellée. Les principaux suspects restaient toutefois « activement recherchés », alors qu’une autopsie est prévue jeudi pour tenter d’éclaircir le déroulement des faits.
Enquête ouverte pour homicide volontaire à la Monnaie
Une enquête pour « homicide volontaire » a été ouverte et confiée à la direction de la criminalité organisée de la police judiciaire de la Drôme. Le quartier sensible de la Monnaie avait été médiatisé ces derniers mois suite à la mort de Thomas, un lycéen de 16 ans poignardé en novembre à Crépol (Drôme). L’enquête n’avait pas permis d’identifier l’auteur du coup de couteau.
Mobilisation de l’extrême droite dans l’affaire de la Monnaie
L’affaire a suscité l’émotion dans la région et a mobilisé l’extrême droite, qui a tenté de lier sécurité, quartiers sensibles et immigration. Certains des mis en examen pour « homicide volontaire en bande organisée » dans le cadre de cette affaire sont originaires de la cité de la Monnaie.