Agression violente à l'hôpital de Challans : un brancardier gravement blessé
2 minutesViolente agression à l’hôpital de Challans
Une agression d’une rare violence a eu lieu à l’hôpital de Challans, en Vendée, où un brancardier a été passé à tabac par plusieurs individus accompagnant des patients. Selon le président du SAMU-Urgences de France, Marc Noizet, les agresseurs se sont énervés en raison du délai d’attente et du refus d’entrer dans le service avec les patients. L’agression a laissé le brancardier gravement blessé, nécessitant son admission en soins intensifs.
Une réaction ferme du ministre de la Santé
Face à cet acte odieux et lâche, le ministre délégué à la santé, Frédéric Valletoux, a dénoncé fermement cette violence inacceptable. L’agression a conduit à la fermeture du service des urgences de l’hôpital de Challans pendant plusieurs heures, impactant la prise en charge des patients dans cet établissement.
Mobilisation contre les violences dans les hôpitaux
Cette agression souligne une fois de plus le besoin de renforcer la sécurité et la protection du personnel hospitalier. Les professionnels de santé doivent pouvoir exercer leur mission dans des conditions sereines et sécurisées. Une mobilisation collective est nécessaire pour lutter contre les violences qui peuvent survenir dans les établissements de santé et garantir un environnement de travail sûr pour tous.
Le ministre dénonce un acte odieux et lâche
Le ministre délégué à la santé, Frédéric Valletoux, a vivement réagi à l’agression d’un brancardier des urgences survenue à X. Il a qualifié cet acte d’« odieux et lâche », soulignant que « l’hôpital est un sanctuaire ».
Aucune violence envers le personnel soignant ne peut être tolérée
Frédéric Valletoux a affirmé que toute forme de violence envers le personnel soignant était inacceptable. Il a exprimé son soutien au brancardier gravement blessé et a déclaré que les soignants ne devaient pas être la cible de l’angoisse, de l’agressivité ou de la violence des patients et de leurs proches.
La colère de M. Noizet
Le directeur de l’établissement, M. Noizet, a également fait part de sa colère face à cette agression. Il a déploré que des soignants puissent être victimes de violences, soulignant qu’ils ne devaient en aucun cas être la variable de la détresse des patients et de leur entourage.