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Affaire Dani Alves : libération sous conditions après avoir versé un million d'euros

Affaire Dani Alves : libération sous conditions après avoir versé un million d'euros

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Dani Alves, libéré après avoir payé une caution d’un million d’euros

Le footballeur brésilien Dani Alves, condamné pour viol en Espagne en février dernier, a été libéré après avoir versé une caution d’un million d’euros.

Conditions strictes imposées par la justice

En plus du paiement de la caution, Dani Alves se voit imposer des conditions strictes par la justice espagnole. Il lui est interdit de quitter l’Espagne, d’approcher à moins d’un kilomètre du domicile ou du lieu de travail de la victime et d’entrer en contact avec elle. Il doit également pointer tous les vendredis au tribunal de Barcelone.

Des difficultés financières en perspective

Depuis son arrestation, la situation financière de Dani Alves s’est détériorée, avec la suspension de son contrat avec le club mexicain des Pumas et l’arrêt d’autres sources de revenus. Malgré les rumeurs selon lesquelles le père de Neymar aurait aidé à payer sa caution, ce dernier a assuré que la situation était désormais différente.

Le footballeur Daniel Alves obtient une remise en liberté sous conditions

Le célèbre footballeur Daniel Alves, condamné à quatre ans et demi d’emprisonnement pour viol, a obtenu une remise en liberté sous conditions après avoir passé un certain temps derrière les barreaux.

Une décision critiquée et contestée

La décision du tribunal d’accorder cette remise en liberté a suscité de vives réactions, notamment de la part de l’avocate de la victime et du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, qui ont déploré le traitement réservé aux personnes riches face à la justice. Le parquet a annoncé qu’il ferait appel de cette décision.

Des conditions strictes imposées au joueur

Pour bénéficier de cette remise en liberté, Daniel Alves devra verser une somme importante à sa victime, sera soumis à cinq ans de liberté surveillée après sa sortie de prison et se verra interdire tout contact avec la plaignante pendant une période de neuf ans et demi. Son procès en appel n’a pas encore de date fixée.