François Bayrou réélu à la présidence du MoDem : Cap sur l'avenir avec un projet d'espoir
2 minutesFrançois Bayrou réélu à la présidence du MoDem
Le maire de Pau, François Bayrou, a été réélu sans suspense à la présidence du MoDem lors du congrès du parti centriste à Blois le samedi 23 mars. En tant que seul candidat en lice, il a recueilli un soutien massif avec 88,1% des voix des congressistes.
Un témoignage de confiance et de foi dans l’avenir
Lors de son discours devant environ 600 personnes réunies dans la salle du Jeu de paume de Blois, François Bayrou s’est dit “très heureux de ce résultat” qui est selon lui “un témoignage de confiance et un témoignage de foi dans notre avenir”. Il a souligné que le MoDem a pour mission de porter un “projet d’espoir pour la France” pour contrer “la résignation et le défaitisme”, qu’il considère comme les principaux ennemis.
Cap sur l’avenir avec un projet d’espoir
François Bayrou appelle ainsi à l’optimisme et à la mobilisation pour l’avenir du pays. Avec son soutien incontesté à la tête du MoDem, il souhaite incarner le renouveau et défendre un projet politique porteur d’espoir pour l’ensemble de la population française.
Congrès du MoDem dans le Loir-et-Cher
Le MoDem, parti centriste revendiquant quelque 12 000 adhérents, tient son congrès ce week-end dans la ville du Loir-et-Cher. Plusieurs personnalités politiques de premier plan sont attendues pour cet événement.
Présence de membres du gouvernement et personnalités influentes
Parmi les intervenants prévus lors de ce congrès, on compte le premier ministre Gabriel Attal, la tête de liste de la majorité présidentielle pour les élections européennes Valérie Hayer, ainsi que la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet. Le MoDem compte actuellement plusieurs représentants au sein du gouvernement.
Episode du remaniement et situation actuelle du parti
Le MoDem compte quatre membres au gouvernement, dont le ministre Marc Fesneau. Le parti est également représenté par 50 députés au sein de la majorité présidentielle, ainsi que quatre sénateurs et six députés européens. Le remaniement de février a été marqué par l’annonce de François Bayrou de ne pas intégrer le gouvernement, malgré des rumeurs circulant autour de sa possible nomination au poste d’éducation nationale.