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Violences à l'université Montaigne : Huit personnes arrêtées dans le milieu de l'extrême droite
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Violences à l'université Montaigne : Huit personnes arrêtées dans le milieu de l'extrême droite

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Huit personnes arrêtées à Bordeaux dans le milieu de l’extrême droite

Huit hommes liés à un groupe d’extrême droite ont été placés en garde à vue à Bordeaux, dans le cadre d’une enquête sur des violences lors d’une conférence universitaire.

Violences lors d’une conférence organisée par La France insoumise

En décembre 2022, deux députés de La France insoumise ont vu leur intervention perturbée par des dizaines d’individus à l’université Montaigne à Bordeaux. Suite à cela, une enquête a été ouverte pour violence volontaire et participation à un groupe formé en vue de la préparation de violences à caractère raciste.

Les suspects liés à la « Bastide bordelaise »

Plusieurs des individus placés en garde à vue sont identifiés comme membres de la « Bastide bordelaise », un groupuscule nationaliste. L’enquête se poursuit pour faire la lumière sur ces actes de violence.

Perturbation à l’université Montaigne : Les députés LFI portent plainte

Le 8 décembre 2022, les députés LFI Louis Boyard et Carlos Martens Bilongo ont annoncé avoir été victimes de perturbations lors de leur intervention à l’université Montaigne.

Des militants d’extrême droite armés tentent de s’introduire dans l’amphithéâtre

Selon les deux élus, un groupe d’une trentaine de militants d’extrême droite, armés de matraques télescopiques, a tenté de s’introduire dans l’amphithéâtre où les deux députés tenaient une conférence. Cette situation a suscité une réaction du ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, qui a déclaré sur Twitter que la police avait dû intervenir pour protéger les deux députés menacés par plusieurs dizaines d’individus.

Gérald Darmanin condamne l’incident et encourage les parlementaires à déposer plainte

Gérald Darmanin a souligné que la liberté d’expression est une liberté fondamentale et a qualifié l’incident d’inacceptable. Il a encouragé les parlementaires à déposer plainte pour faire valoir leurs droits et condamner de tels actes de perturbation.