Un homme de 22 ans mis en examen pour des projets d’action violente liés à l'ultradroite
2 minutesUn homme de 22 ans mis en examen pour des projets d’action violente liés à l’ultradroite
Le parquet national antiterroriste (PNAT) a annoncé samedi 9 mars qu’un homme de 22 ans, domicilié dans la Meuse, a été mis en examen et incarcéré pour des projets d’actions violentes en lien avec l’idéologie d’ultradroite.
Arrestation dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour des faits de terrorisme
Le suspect a été arrêté mardi suite à une information judiciaire ouverte pour des faits de terrorisme d’ultradroite. Deux autres personnes arrêtées en même temps ont été relâchées sans poursuites à ce stade.
Discussions sur un réseau social évoquant l’entraînement au combat et des actions violentes
Selon une source proche du dossier à l’Agence France-Presse (AFP), la mise en examen du suspect repose sur des indices de sa participation à des discussions sur un réseau social, où il était engagé dans l’idéologie de l’ultradroite violente. Ces discussions évoquaient notamment l’entraînement au combat et des projets d’actions violentes en lien avec cette idéologie. Une enquête préliminaire avait été ouverte en juin 2023, suivie d’une information judiciaire trois mois plus tard.
Un homme mis en examen pour des faits de terrorisme d’ultradroite
Un homme a été interpellé mardi en compagnie de deux autres individus dans le cadre d’une information judiciaire ouverte pour des faits de terrorisme d’ultradroite, a annoncé le PNAT.
Mise en examen pour association de malfaiteurs terroriste
Après sa garde à vue, l’homme a été présenté à un juge d’instruction antiterroriste du tribunal de Paris. Il a été mis en examen pour “association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteinte aux personnes” ainsi que pour “acquisition, détention et cession d’armes de catégorie A, B et C, en relation avec une entreprise terroriste”, selon le parquet antiterroriste.
Détention provisoire pour le suspect
Le suspect a été placé en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention. En revanche, les deux autres personnes interpellées ont vu leur garde à vue levée sans poursuites pour le moment, a précisé le PNAT.