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Le scandale du deepfake de Joe Biden : Révélation du commanditaire et implications politiques

Le scandale du deepfake de Joe Biden : Révélation du commanditaire et implications politiques

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Révélation de l’identité du commanditaire du deepfake de Joe Biden

Steve Kramer, commanditaire du deepfake de Joe Biden

Le consultant Steve Kramer a été identifié comme étant le commanditaire du deepfake de Joe Biden, une utilisation de l’intelligence artificielle pour imiter la voix du président américain dans un appel téléphonique automatique envoyé à des milliers d’électeurs. Il a reconnu son implication dans ce projet, qui a suscité de vives réactions aux États-Unis.

Utilisation de l’intelligence artificielle en politique

Steve Kramer défend son initiative

Dans une interview avec la chaîne NBC, Steve Kramer a affirmé avoir eu l’idée de ce deepfake pour mettre en lumière les dangers de l’intelligence artificielle en politique. Malgré les répercussions légales engendrées par cet appel trompeur, Kramer soutient que son objectif était de sensibiliser sur les risques que ces outils de manipulation peuvent représenter dans le processus démocratique, en particulier à l’approche des élections présidentielles de novembre.

Un consultant politique admet avoir créé un deepfake téléphonique de Joe Biden

Un consultant politique américain, Steve Kramer, a récemment admis avoir créé un deepfake téléphonique de Joe Biden dans le but d’influencer des électeurs. Cette révélation a semé le trouble dans le milieu politique et soulève des questions sur l’utilisation future de cette technologie.

Un procédé récurrent pour le consultant

Steve Kramer a reconnu que ce n’était pas la première fois qu’il utilisait cette technique. En effet, il avait déjà imité la voix du sénateur républicain Lindsey Graham pour un appel automatisé. Il prétend avoir obtenu un taux de réponse plus élevé que les appels classiques, démontrant ainsi l’efficacité de cette méthode.

Les inquiétudes autour des deepfakes

L’émergence des deepfakes suscite des inquiétudes, notamment en ce qui concerne les manipulations politiques. Alors que de grandes entreprises du numérique se mobilisent pour lutter contre les contenus trompeurs générés par l’IA, le cas de Steve Kramer met en lumière les potentielles dérives liées à l’utilisation des deepfakes dans le domaine politique.