Photo non contractuelle
Gérald Darmanin engage des poursuites : La députée LFI Danièle Obono accusée d'apologie du terrorisme
Articles similaires

Gérald Darmanin engage des poursuites : La députée LFI Danièle Obono accusée d'apologie du terrorisme

 3 minutes

Gérald Darmanin saisit la justice contre la députée LFI Danièle Obono pour « apologie du terrorisme »

Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, a décidé de prendre des mesures contre la députée LFI Danièle Obono à la suite de ses déclarations sur le Hamas. Dans une interview accordée à Sud Radio, Obono a qualifié le Hamas de “mouvement de résistance” en affirmant qu’il “résiste à une occupation” et se bat pour “la libération de la Palestine”. Ces propos ont suscité une vive polémique et ont été jugés inacceptables et inappropriés par de nombreux membres de la classe politique.

Les accusations de “d’apologie du terrorisme”

Considérant les déclarations de Danièle Obono comme de l’“apologie du terrorisme”, Gérald Darmanin a annoncé qu’il saisissait le procureur de la République pour engager des poursuites judiciaires. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, Darmanin a été clair : “Le Hamas, ‘un mouvement de résistance’ ? Non! C’est un mouvement terroriste”. Il a également souligné qu’il ne pouvait y avoir aucune excuse, soutien ou caution pour les crimes de guerre commis par le Hamas contre les civils israéliens.

Réactions et dénonciations

Les propos de Danièle Obono ont suscité des critiques tant à gauche qu’à droite. L’idée de présenter le Hamas comme un “mouvement de résistance” a été vivement décriée. La députée a publié un message sur les réseaux sociaux dénonçant ces critiques et qualifiant leur interprétation de “manipulations”. La polémique est donc lancée, et il appartient désormais à la justice de se prononcer sur la qualification des propos de la députée et sur la suite à donner à cette affaire.

Le Hamas : un groupe politique islamiste engagé dans la résistance à l’occupation de la Palestine

Marine Tondelier, cheffe des écologistes, a récemment fait une déclaration au sujet du Hamas, un groupe politique islamiste. Elle a affirmé que le Hamas se positionne comme une force de résistance contre l’occupation de la Palestine par Israël. Cette affirmation, bien que factuelle, ne doit en aucun cas être considérée comme une excuse, un soutien ou une caution pour les crimes de guerre abjects commis par ce groupe contre les civils israéliens.

Les actions du Hamas remettent en cause sa prétendue résistance

Cependant, il est important de souligner que les événements qui se sont déroulés le samedi 7 octobre en Israël ne peuvent en aucun cas être assimilés à de la “résistance”. Marine Tondelier, chef des écologistes, estime que ces actions violentes n’ont aucun lien avec les revendications du Hamas. Il est crucial de ne pas confondre la notion de résistance avec des actes de violence indiscriminée visant les civils.

Le Hamas : une organisation terroriste responsable de crimes abominables

De son côté, Eric Ciotti, président du parti Les Républicains, a tenu des propos forts à l’encontre du Hamas. Selon lui, ce groupe est une organisation terroriste qui porte la responsabilité de nombreux crimes horribles. Ciotti évoque notamment le massacre de personnes âgées, la décapitation d’enfants et le viol de femmes israéliennes. Ces crimes atroces mettent en lumière la nature violente et inhumaine du Hamas, remettant ainsi en question toute notion de légitimité de leur soi-disant “résistance”.