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L'Arménie défie la Russie en ratifiant l'adhésion à la Cour pénale internationale malgré les tensions politiques
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L'Arménie défie la Russie en ratifiant l'adhésion à la Cour pénale internationale malgré les tensions politiques

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L’Arménie ratifie l’adhésion à la Cour pénale internationale

Le Parlement arménien a voté en faveur de la ratification du statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI). Cette décision a été prise malgré l’opposition de la Russie, allié traditionnel de l’Arménie, suite à un mandat d’arrêt émis par la CPI à l’encontre du président russe Vladimir Poutine.

Un vote favorable malgré les tensions avec la Russie

Malgré les relations tendues avec la Russie, le Parlement arménien a approuvé la ratification du statut de Rome de la CPI. Avec un vote de 60 voix en faveur et 22 voix contre, les élus ont exprimé leur soutien à cette adhésion internationale.

Une réaction de défiance de la Russie

La Russie, quant à elle, a vivement critiqué cette décision. En effet, la CPI avait émis un mandat d’arrêt contre Vladimir Poutine plus tôt cette année, ce qui a suscité un mécontentement certain de Moscou. Cette opposition témoigne ainsi des tensions grandissantes entre l’Arménie et la Russie, malgré leur alliance historique.

Le Kremlin critique les décisions hostiles concernant le statut de l’Ukraine

Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a vivement critiqué les décisions prises concernant le statut de l’Ukraine. Dans une déclaration faite à la presse jeudi dernier, il a qualifié ces décisions d’extrêmement hostiles envers la Russie. Il a toutefois exprimé l’espoir que ces mesures n’affecteraient pas négativement les relations bilatérales entre les deux pays. Peskov a rappelé que la Russie ne reconnaît pas ce statut et ne fait pas partie des pays qui l’ont ratifié.

Des conséquences inquiétantes pour les relations bilatérales entre la Russie et l’Ukraine

La réaction du porte-parole du Kremlin souligne une préoccupation quant aux conséquences de ces décisions sur les relations bilatérales entre la Russie et l’Ukraine. En déclarant que ces décisions sont hostiles, Peskov suggère que les relations entre les deux pays pourraient être remises en question. Une telle affirmation ne fait qu’accroître les tensions déjà existantes et rend plus incertain l’avenir de cette relation.

L’absence de reconnaissance du statut par la Russie renforce les divisions

Le fait que la Russie ne reconnaisse pas le statut de l’Ukraine renforce les divisions entre les deux pays. Alors que certains pays l’ont ratifié, la position de la Russie contribue à alimenter les discordes et les confrontations qui existent déjà. Cette absence de reconnaissance risque de prolonger les tensions et d’entraver les efforts visant à résoudre les problèmes bilatéraux. Il est crucial de trouver des solutions constructives pour éviter que cette situation ne mène à une escalade des antagonismes entre la Russie et l’Ukraine.