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La présidente de l'agence de boys bands Johnny's reconnaît les abus sexuels et démissionne : Une enquête révèle les détails choquants derrière le scandale
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La présidente de l'agence de boys bands Johnny's reconnaît les abus sexuels et démissionne : Une enquête révèle les détails choquants derrière le scandale

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La présidente de l’agence de boys bands Johnny’s reconnaît les agressions sexuelles de son prédécesseur et annonce sa démission

Une commission chargée de mener une enquête révèle le nombre choquant de victimes

La présidente de la plus grande agence de boys bands japonais, Johnny’s, a révélé lors d’une conférence de presse que son prédécesseur, Johnny Kitagawa, avait commis des agressions sexuelles sur plusieurs centaines de jeunes hommes. Ces abus ont duré des décennies et ont été révélés grâce à une commission d’enquête créée par l’agence elle-même. La présidente, Julie Fujishima, a également admis que ces accusations étaient connues depuis longtemps, mais aucune mesure n’a été prise pour y remédier.

Une démission choquante qui brise l’omerta

Julie Fujishima a pris la décision de démissionner suite aux révélations choquantes concernant les abus sexuels commis par son prédécesseur. Elle a présenté des excuses sincères aux victimes et a exprimé sa profonde tristesse face à cette situation. Johnny Kitagawa est décédé en 2019 à l’âge de 87 ans. Sa mort n’a pas empêché la vérité d’éclater et la prise de conscience de ces actes répréhensibles.

Une nouvelle ère pour Johnny’s avec la nomination d’un remplaçant expérimenté

Après la démission de Julie Fujishima, la célèbre agence de boys bands a nommé Noriyuki Higashiyama, un chanteur et acteur vétéran, pour la remplacer. Cette décision marque le début d’une nouvelle ère pour Johnny’s, qui souhaite tourner la page sur ces sombres chapitres de son histoire. Les fans et les artistes espèrent que cette nomination permettra de prévenir de tels abus à l’avenir et de promouvoir un environnement sûr et respectueux au sein de l’agence.

L’agence “Johnny’s” sous le feu des critiques

L’agence de talents japonaise “Johnny’s”, connue pour avoir produit des talents masculins pop, est en proie à une grave crise de confiance. La démission de son fondateur, Johnny Kitagawa, suite à des accusations d’abus sexuels, a poussé l’agence à prendre des mesures pour tenter de se relever. Cependant, cela ne suffit pas à apaiser les victimes et reconstruire la confiance perdue.

La démission de Johnny Kitagawa n’est pas suffisante

Malgré la démission de Johnny Kitagawa, il faudra du temps pour que l’agence “Johnny’s” parvienne à retrouver la confiance du public. M. Higashiyama, membre de l’équipe de direction, a déclaré qu’il consacrerait le reste de sa vie à la résolution de ce problème. Cependant, il s’est montré réticent à l’idée de changer le nom de l’agence, qui reste associée à un héritage controversé. De son côté, Mme Fujishima, également membre de l’équipe de direction, a affirmé qu’elle resterait dans l’agence pour soutenir les victimes.

Les victimes réagissent et demandent davantage d’actions

Des victimes présumées de Johnny Kitagawa ont réagi positivement aux annonces de l’agence. Cependant, elles estiment que cela ne suffit pas à guérir les cicatrices laissées sur leur cœur. Yukihiro Oshima, un ancien talent de l’agence, déclare que les cicatrices ne disparaîtront jamais complètement. Junya Hiramoto, un autre ancien membre, appelle l’entreprise à tout faire pour sauver les victimes. La volonté des victimes de voir plus d’actions concrètes témoigne de la nécessité de faire face à cette crise.

La controverse sur Johnny Kitagawa avait fait surface suite à la diffusion d’un documentaire de la BBC et aux accusations publiques d’une victime. Ces événements ont entraîné des excuses de la part de la présidente de l’agence. Une enquête interne a été menée et a révélé que plusieurs centaines de jeunes hommes avaient été agressés par Johnny Kitagawa. Le rapport de cette enquête recommandait la démission de Mme Fujishima, qui était au courant des accusations depuis longtemps mais n’a pas agi. Selon les auteurs du rapport, le remplacement de la présidente est essentiel pour que l’agence puisse se réformer et repartir de zéro. Il est clair que l’agence doit prendre des mesures plus énergiques pour surmonter cette crise et regagner la confiance du public.