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Faith Kipyegon makes history with incredible double win in 1,500m and 5,000m
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Faith Kipyegon makes history with incredible double win in 1,500m and 5,000m

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Faith Kipyegon réalise un doublé historique sur 1 500 m et 5 000 m

Lors de la avant-dernière journée des championnats du monde d’athlétisme, la Kenyanne Faith Kipyegon a réalisé un exploit historique en remportant les épreuves du 1 500 m et du 5 000 m. Cette performance inédite en grand championnat chez les femmes confirme le talent exceptionnel de Kipyegon.

Les Américains dominent le 4 x 100 m

Les sprinteurs américains ont largement dominé la finale du relais 4 x 100 m en remportant la médaille d’or. Menés par Noah Lyles, qui a déjà réalisé un doublé individuel lors de ces championnats du monde, les Américains ont terminé en première position avec un temps de 37 s 38. L’Italie a décroché la médaille d’argent en 37 s 62, tandis que la Jamaïque complète le podium en 37 s 76. Les Français, qualifiés au temps vendredi, ont quant à eux terminé sixièmes de la finale en 38 s 06.

Sha’Carri Richardson et l’équipe américaine remportent le 4 x 100 m féminin

Chez les femmes, l’équipe américaine a également brillé lors de la finale du relais 4 x 100 m. Les Américaines, emmenées par Sha’Carri Richardson et Shericka Jackson, ont survolé la compétition en établissant un nouveau record en championnat du monde avec un temps de 41 s 03. La Jamaïque a pris la deuxième place en 41 s 21, tandis que le Royaume-Uni a complété le podium en 41 s 97.

Conclusion

Faith Kipyegon continue d’écrire l’histoire de l’athlétisme en réalisant un doublé historique sur 1 500 m et 5 000 m. Les Américains ont quant à eux dominé les épreuves du relais 4 x 100 m en remportant les médailles d’or chez les hommes et chez les femmes. La compétition se poursuit avec le dernier jour des championnats du monde d’athlétisme.

Les Ethiopiennes manquent le podium

Les Ethiopiennes Ejgayehu Taye, Medina Eisa et Freweyni Hailu se sont contentées des accessits (5e, 6e, 7e) lors de la finale du 10 000 m. Longtemps au contact, Gudaf Tsegay, championne du monde du 10 000 m, convoitait elle aussi un doublé. Mais l’Ethiopienne a explosé dans le dernier tour et termine 11e de cette finale.

Les Canadiens dominent le décathlon

Quand le chat n’est pas là, les souris dansent. Le champion du monde en titre Kevin Mayer vient tout juste de se retirer de la compétition, laissant les décathloniens se disputer les places de choix sur un concours très ouvert. Les Canadiens ont tiré leur carte du jeu avec Pierce Lepage, sacré champion du monde du décathlon en Hongrie avec 8 909 points, devant son compatriote Damian Warner (8 804 points), champion olympique à Tokyo.

Après avoir pris la tête avec la première discipline de la journée, Pierce Lepage a conservé son avance au classement général. Le Grenadien Lindon Victor, auteur d’un concours de disque stratosphérique (54,97 m, record des championnats sur un décathlon), complète le podium avec 8 756 points. En revanche, la jeune pépite allemande Leo Neugebauer devra encore patienter avant de tenir sa première récompense mondiale. En tête de la première journée, le jeune homme de 23 ans s’est montré plus friable sur ses cinq autres travaux et termine cinquième.

Les Français se qualifient pour la finale du 4 x 400 m

Les relais homme et femme français se sont qualifiés brillamment pour la finale mondiale du 4 x 400 m. Ludvy Vaillant, Loïc Prévot, David Sombé et Téo Andant ont pris la deuxième place de leur course derrière la Jamaïque, avec un chrono de 3 min 0 s 5. Le champion du France du 400 mètres, Téo Andant, a notamment réalisé un excellent dernier tour de piste pour offrir au collectif français l’assurance d’une qualification directe.

La surprise est venue de l’Inde, nation émergente de l’athlétisme, vue aux coude-à-coude avec les champions du monde en titre américains lors des demi-finales. Les Indiens ont établi un nouveau record d’Asie (2 min 59 s 05), devançant dans la course le Royaume-Uni et le Botswana.

Les Françaises, dans leur malchance, ont quant à elles fait bonne fortune. Gênées par le Nigeria sur l’avant-dernière transition, et cinquième de leur série (3 min 27 s 50), Amandine Brossier, Louise Maraval, Sounkamba Sylla et Camille Seri ont été repêchées après réclamation. Bien que dixième temps des séries, elles disputeront donc la finale, dimanche, aux côtés de la Jamaïque, du Canada, de la Grande-Bretagne, de la Belgique, des Pays-Bas, de l’Italie, de la Pologne et de l’Irlande.

En revanche, les Américaines ne seront pas de la partie. Sacrées à sept reprises lors des huit derniers championnats du monde, elles ont été éliminées samedi, en raison d’un passage de témoin jugé hors zone. La finale est programmée dimanche à 21 h 35 pour les hommes et à 21 h 45 pour les femmes. Une dernière occasion pour les Tricolores de sauver le bilan français, toujours bloqué à zéro médaille à un an des Jeux de Paris.